mardi 5 mai 2009

CALDER. Un univers mobile.

Du noir. Du blanc. Quelques taches de couleurs primaires : rouges, jaunes, bleues. Et le vent, le moindre souffle, le plus aérien des siroccos s'engouffrent dans les formes qui oscillent et se balancent. La poésie du microcosme de Calder est minimale. - Ses animaux de fil de fer, son lion chevelu, ses acrobates et ses danseuses bondissent et rebondissent dans le cirque qui est celui de nos enfances. La drôlerie elle aussi y est minimale. Légère comme un souffle. Élégante.

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